Emmanuel Svob était ouvrier bijoutier.
Il est maire de 1925 à 1929, de 1935 à 1941 et de 1944 à 1946.
Pour mieux connaître cet ancien maire de Lorient, rendez-vous sur https://patrimoine.lorient.bzh/histoire/personnalites/s/svob-emmanuel/
Lorient est jumelée avec Ludwigshafen en Allemagne depuis 1963
Des infos ici --> https://lorient.bzh/territoire/international/
Une expo à revoir sur ce jumelage ici --> https://bit.ly/3PKroiy
#BonAnniversaireLorient !
Il s'agit du film Illusions perdues de Ernst Lubitsch, sorti en 1941, lui-même étant un remake du film Embrassez-moi réalisé en 1925 par ce même Lubitsch.
En savoir plus sur Illusions perdues
Consulter le texte de la pièce de théâtre Divorçons sur le site de la BNF
Jacques Olivier est l'un des nombreux architectes de la Reconstruction de Lorient.
Ebéniste de formation, il a un goût très affirmé pour la géométrie et la pureté des lignes extérieures, qu'il associe parfois avec une virtuosité inattendue des formes intérieures, comme sur les escaliers, les cheminées ou les placards.
Il a notamment travaillé sur les immeubles très originaux de l'Eau courante et de la Banane, ainsi que sur le quartier du Ter.
Il s'agissait d'une usine de peinture.
H. Lappartient bénéficie de dommages de guerre après les destructions engendrées pendant la Seconde Guerre mondiale pour construire une grande usine de peinture en 1949. La réalisation est confiée à l’architecte Henri Reglain (1901-1974). Ce bâtiment est emblématique, puisqu’il est l’un des premiers reconstruits dans le quartier et marque encore aujourd’hui l’entrée de l’avenue de la Perrière.
L’usine de peinture Lappartient représente l’âge d’or de l’industrie des quartiers de Keroman et de Kergroise de 1949 à 1985. Elle dépose des dizaines de marques de peinture et de vernis industriels, dont le fameux « gris Lappartient », peinture officielle pour les bâtiments militaires de la Marine. L’entreprise H. Lappartient & Steren ferme ses portes en juillet 1985. Le bâtiment connaît une succession d’entreprises jusqu'à son rachat par la Ville en 1998 pour y installer les bureaux de l’agence de développement Audélor coté Avenue de la Perrière, et l’école municipale des Beaux-Arts dans les anciens espaces de production de l’usine.
Le projet est dirigé par l’architecte en chef de la Ville, Philippe Albert. La première rentrée a lieu en 2000 avec 180 étudiants. Le bâtiment est réparti sur 790 m², avec plusieurs ateliers situés à l’arrière du bâtiment. La création d’un escalier permet de relier les différents niveaux. La Ville de Lorient reçoit en 2001 le prix spécial des Rubans du patrimoine pour la "réhabilitation du patrimoine industriel du XXe siècle".
Il s'agit de la première alerte des sirènes de la défense passive avertissant la population des risques d'un bombardement des Alliés.
Beaucoup d'autres suivront !
Pour savoir ce qui s'est passé à Lorient un jour précis, consulter "C'est arrivé un" sur le site web du patrimoine
Il peut contenir 400 personnes.
Livré en septembre 1941, l'abri souterrain de la place Alsace-Lorraine est l'un des premiers à être aménagé.
Un galet - ou un coquillage
Il est arrivé d'Italie en 2011 et s'inscrit dans l'opération de réagencement de la rue Toullec qui privilégie une ambiance maritime. Mis en valeur sur une dalle en béton poreux, ce galet est posé parmi la végétation. Signé Pamio Design, le galet est un moulage d'agrégats de granit blanc. Ses surfaces sont polies et couvertes d'un vernis satiné. Il pèse quatre tonnes
Pour connaître les statues, sculptures, oeuvres d'art sur l'espace public, rendez-vous ici
Le gélifiant JEL.
Emile Marcesche a été un capitaine d'industrie touche-à-tout, visionnaire, philanthrope et progressiste.
Pour en savoir plus sur cette personnalité qui a marqué l'économie lorientaise, consultez les panneaux de l'exposition qui lui a été consacrée il y a quelques années